48. C’est encore pendant la nuit que je vois le plus clair.
47. L’homme semble se satisfaire d’une vie pacifiée. En réalité, sommeillent en lui des désirs inavoués. Mieux vaut ne pas s’y fier.
46. On ne se débarrasse jamais d’un complexe. Au mieux, on s’en inspire.
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"Je vais là où le vent me mène". Photographie de Marie-Claude Strausz
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